Bénin

AKASSATO


Fondée en 2006, après un séjour de deux ans à Ouidha.

Akassato est une ville naissante, située à une trentaine de kilomètres au nord de Cotonou.

Mission de la communauté : les sœurs sont appelées à regarder et à s’ouvrir aux appels du lieu. Elles vivent en proximité avec la population et participent aux activités de la paroisse. Des besoins se font sentir au niveau de la garde des enfants et de l’éducation de la petite enfance car les parents travaillent à Cotonou. Une crèche s’ouvre en 2010, puis une classe maternelle.

COTONOU


Fondée en 1998. Les Sœurs de la Providence sont envoyées « faire communauté » avec les sœurs Auxiliatrices de la Charité, à Akpakpa, en banlieue de Cotonou. A leur départ en 2003, les sœurs de la Providence choisissent de continuer la mission.

La Communauté vit en proximité d’un quartier jeune, souvent inondé, en lien avec les paroisses St Martin et Ste Trinité.

Sa Mission : se mettre au service de la paroisse et plus spécialement de la catéchèse. Etre une présence aux plus souffrants (handicapés physiques et mentaux de l’Association St Camille de Lellis).

Burkina Faso

MOUNDASSO – Centre Dii Alfred Diban


Le Centre Dii Alfred Diban (premier chrétien et catéchiste du Burkina Faso) est fondé en septembre 1988, animé par les sœurs de La providence, à la demande de Mgr Toé, évêque de Nouna Dédougou.

Son objectif : offrir au diocèse un lieu pour l’approfondissement de la Foi. Ce centre accueille prêtres, religieux, catéchistes, jeunes, ONG, dans un cadre verdoyant et calme.

L’environnement : un petit village, à une dizaine de kilomètres de Dédougou.

Mission de la communauté : animer et coordonner les activités du Centre, en lien avec le diocèse

travailler en collaboration avec l’Equipe Diocésaine de Formation.

DEDOUGOU


L’environnement : Dédougou est une ville de 40000 habitants. Elle abrite de nombreux établissements éducatifs et de formation, un centre universitaire, des centres médicaux. Elle organise tous les deux ans le Festival des masques, grand rendez-vous culturel international.

Le Foyer Ste Thérèse ouvre ses portes à Dédougou le 30 septembre 1992, pour accueillir des jeunes filles désireuses d’entrer dans la vie religieuse et des jeunes filles qui ont besoin d’un hébergement et d’un soutien pour suivre leur formation scolaire.

Mission de la communauté : gérer et animer le foyer, offrir à ces jeunes filles une éducation humaine et spirituelle en favorisant leur croissance.

Pour répondre à la demande insistante des familles, la congrégation a ouvert un préscolaire.

SOLENZO


Fondée en 1983, à la demande de Mgr Toé, évêque de Dédougou, afin que les sœurs soutiennent la mission auprès des femmes.

L‘environnement : Solenzo est un grand village sur les terres fertiles du Burkina Faso. Il y a beaucoup à faire dans cette zone rurale où les jeunes ne sont pas scolarisés.

Mission de la communauté : en cohérence avec la recherche du développement de toute personne, les sœurs travaillent à la promotion féminine, à l’alphabétisation, éduquent à l’hygiène, l’auto-prise en charge, particulièrement dans le Centre qu’elles ont ouvert.

Cameroun

YAOUNDE


En 2009, l’Assemblée de Région projette l’ouverture d’une communauté au Cameroun. Le Conseil général de Congrégation décide alors de déplacer le noviciat de Bouaké à Yaoundé. La communauté ouvre ses portes le 9 septembre 2010.

La communauté a eu pour mission première la formation des jeunes filles à la vie religieuse mais, à ce jour, le noviciat de la congrégation est devenu international et se déroule en France.

Après plusieurs déménagements, la communauté est maintenant « chez elle » dans une petite maison de quartier. Yaoundé est une ville universitaire et peut permettre aux plus jeunes sœurs de suivre des formations, mais également de s’insérer dans la pastorale ou des services caritatifs.

Côte d'Ivoire

ABIDJAN – MARCORY


Fondée en 1964, à la demande de Mgr Yago, archevêque d’Abidjan, qui appela des sœurs pour l’hôpital de Treichville.

L’environnement : Marcory est un quartier périphérique de la capitale, où se côtoient des quartiers aisés et d’autres plus modestes et défavorisés. Les sœurs résident en plein cœur d’un quartier populaire, actif.

La Paroisse Ste Thérèse anime une importante communauté chrétienne, vivante et jeune.

Mission de la communauté :

  • partager le charisme et la spiritualité de la Congrégation,
  • animer et gérer le foyer de jeunes filles,
  • accueillir les sœurs de passage.

ABIDJAN – Bongouanou


Fondée le 6 octobre 1955. Les sœurs commencent une école, visitent les villages de brousse.

L’environnement : autrefois la « boucle du cacao », le grenier du pays. Aujourd’hui la population est grandissante et la ville se développe (infrastructures, services administratifs, établissements scolaires…). L’éducation tient une place importante dans la région.

La paroisse est dans le diocèse d’Abengourou qui fait partie de l’archidiocèse de Bouaké.

Mission de la communauté : être témoins de l’Amour de Dieu pour tous. Les sœurs sont engagées dans la vie ecclésiale : catéchèse, animation paroissiale, présence aux malades, éducation des enfants (enseignement)… La communauté a mis en œuvre un grand projet pour subvenir aux besoins financiers de la congrégation : le champ d’hévéaculture où elles travaillent avec d’autres.

BEOUMI


Fondée en septembre 1955, à l’appel de Mgr Diurat, évêque de Bouaké. Béoumi est la première implantation de la congrégation en Afrique.

L’environnement : Béoumi est une petite ville rurale, à 60 kilomètres de Bouaké (population : 8000 habitants). La paroisse s’étend sur un rayon de 50 kilomètres. Le nombre de baptisés est de 6000.

Le diocèse de Bouaké est en synode depuis 2012 et jusqu’en septembre 2015.

Mission de la communauté : le collège ouvert par les sœurs en 1964 a souffert de la guerre de 2002. Remis en état en partie, il accueille aujourd’hui presque 400 élèves. Les sœurs y travaillent tout en participant à la vie paroissiale.

BOUAKE


La communauté est fondée en 1996, pour répondre à deux objectifs :

– que la communauté de Béoumi ne soit pas isolée,

– trouver un lieu propice pour la formation des novices.

L’environnement : la ville de Bouaké a été la première à être touchée par la crise socio-politique de 2002 et a connu alors un ralentissement de la vie sociale et économique. Première grande ville du centre, elle a retrouvé son effervescence et ses rues animées.

Mission de la communauté : elle assure l’animation et la gestion d’un foyer d’étudiantes et s’engage dans la vie pastorale sur la paroisse.